Opinion d'Hélène Jeannotte pédicure à la retraite, ancienne propriétaire de la clinique.
MON OPINION
1: Je suis d'accord que nous ne sommes pas des podologues mais, pour la réclamation de nos clients à leurs assurances, ils remboursent seulement si c'est fait par des podologues.
Il manque d'informations à ce sujet, car les associations ne se démarquent pas auprès de compagnies d'assurances comme Dianne Mathieu de l'APQ intervenait pour expliquer notre métier.
2: Au moment de suivre ma formation en 2002 (Hélène Jeannotte) c'était une formation pour devenir pédicure. C'est certain que cette formation était fait à partir des soins en podologie mais non podologue.
L’HISTORIQUE C’est en 1992 que des étudiants de monsieur Paul Andrès, podiatre, ont cru à la nécessité de fonder l’Association des pédicures du Québec. Madame Dianne Mathieu, infirmière, a assumé sa mise en place et la direction jusqu’en 2006.
En 2013, l’Association change de nom pour Les Podologues affiliés du Québec afin de dissiper la confusion qui existe dans le public entre les soins esthétiques et de confort.
Source: https://www.lpaq.ca/a-propos/
3: Comme pédicure professionnelle, nous avons une assurance responsabilité. On parle ici de personnes sérieuses soucieuses de sa clientèle, car nous ne sommes pas à l'abri d'un incident.
Est-ce que LA FACTURE a vérifié auprès des assurances combien il y a eu de réclamations dans les dernières années pour des soins avec blessures ?
L'émission LA FACTURE en a pas parlé!
4: Dans le reportage, c'est comme si les personnes diabétiques ne vont pas se faire faire des beautés de pieds chez les esthéticiennes et ou pire encore, dans les centres d'achats ou c'est de la productions à la chaine. Dans ces endroits, les risques de contamination sont élevés. ils devraient alors s'afficher Beauté des pieds et non pédicure, d’où vient la confusion auprès des compagnies d'assurances qui croient à une beauté des pieds.
DONC OUI les diabétiques sont très à risque dans cet environnement.
Ce manque d'hygiène dans ces commerces amène son lot de problèmes avec des infections, des brûlures et contamination des ongles avec la mycose.
Par expérience, j'ai reçu des clients qui ont été blessés dans ce genre de salons de beautés.
L'émission LA FACTURE en a pas parlé!
Donc les personnes diabétiques sont en sécurités avec nous, car notre environnement est hygiénique et nous utilisons des produits spécialisés pour le soins des pieds en plus d'instruments stérilisés.
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APQ et l'historique de journées formations continues par
Des médecins spécialistes, infirmières nous ont donnés des formations et ou attestations pour que nous soyons informés d'avantage sur les soins que nous pouvons apporter à notre clientèle.
En voici quelques un:
1: Journée sur le Dépistage des maladies cutanées avec Joel Claveau, md, service de dermatologie, CHUQ, Hotel-Dieu de Québec en 2006 document à l'appui
2 : Journée de formation continue donné par Denise Pothier, infirmière sur Les problèmes veineux et artériels dans le cadre des soins podologiques et lignes directrices pour aborder les onychomycoses en 2007 document à l'appui
3 : Journée pour une attestation de participation par Denise Pothier, infirmière sur les manifestations pour l’arthrose, l’arthrite, l’utilisation sécuritaire sur les accessoires pour soin de confort en 2008 document à l'appui
4 : Journée de perfectionnement sur Soin des pieds dans un environnement sécuritaire par Carole Martineau, formatrice le 31 octobre 2009 sur les Ongles incarnés voir DVD
Même journée avec Dr. Maxime Patenaude podiatre
5 : Conférence sur l’ongle incarné par Dre Chritina Morin, podiatre
et bien plus...
Vivianne Leblanc présidente de l'Apq pourraient fournir des vidéos et document qui ne sont pas inclus ci-haut.
L'émission LA FACTURE n'a pas parlé de ces informations.
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Être bien entouré et ne pas hésiter à référer.
J'ai un podiatre à qui je réfère en moyenne entre 10 à 20 clients par année.
Ongle incarné, verrue ou autre....
J'ai un orthésiste à qui je refaire en moyenne 10 à 20 clients par année pour une évaluation et correction de la démarche qui occasionne des callosités et même correction d'un Hallux Valgus via une orthèse.
Je le suggère à mon client, mais c'est lui qui a la décision finale s'il désire consulter ou pas.
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Le podiatre aimerait bien avoir le monopole du domaine des soins des pieds, ce qui est légitime pour avoir le pouvoir, le contrôle entier.
Le podiatre, souvent prend des empruntes pour la confection d'orthèse en laboratoire. Disons que c'est pas l'unanimité pour les clients qui sont plus souvent déçu de leurs semelles orthopédiques.
L'orthésiste - prothésiste se sent lésé par les podiatres qui font des semelles dont ce n'est pas leurs spécialités et leur enlève une clientèle qui est souvent déçu et qui ne veut plus d'orthèses.
L’infirmier(e) en soins des pieds aimerait bien avoir aussi le monopole des soins des pieds, car le marché serait mieux pour eux ou elles aussi. Souvent dénigre notre métier pourtant souvent ils ou elles se retrouvent dans nos écoles privées pour leurs formations. De plus, souvent font parti des associations des podologues ou de l'ANQ parce que les reçus de leurs ordres ne sont pas acceptés dans autant de compagnie d'assurances que l'ANQ.
La pédicure ( podologue) veut juste être reconnu comme professionnel dans le domaine en Soin des pieds. Nous sommes plus que de l'esthétique et nous sommes pas médicale. Nous sommes les yeux pour détecter un problème s'il y a lieu et pour référer à un spécialiste.
L'esthéticienne et la beauté des pieds
Les salons des ongles déjà commenté ci-haut
L'émission LA FACTURE n'a pas parlé de ces informations.
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